Mont Mitake : Notre randonnée accessible depuis Tokyo
Situé à l’ouest de Tokyo, le mont Mitake est l’une des randonnées les plus accessibles depuis la capitale. À moins de trois heures de transport, il offre une véritable pause au cœur des montagnes d’Okutama. Temples, panoramas et sentiers de randonnée permettent de s’évader en une journée, loin de l’agitation urbaine.
Cela faisait un moment que nous voulions organiser une petite escapade le week-end pour admirer les couleurs automnales hors de Tokyo. Après avoir déjà découvert Nikkō et le mont Takao, il était temps de poursuivre l’exploration… et le mont Mitake s’est imposé comme la destination parfaite. J’avais eu un aperçu de la région d’Okutama cet été, notamment au bord de sa rivière. J’étais curieuse d’en découvrir une autre facette en automne.
Sommaire de l'article
ToggleOù se trouve le mont Mitake ?
Le mont Mitake se situe à l’extrémité ouest de Tokyo, dans la région naturelle d’Okutama. Ce secteur montagneux fait partie du Parc national de Chichibu-Tama-Kai et se distingue par ses forêts denses, ses vallées escarpées et ses petits villages perchés. Culminant à 929 mètres d’altitude, il est aussi un site spirituel important grâce au sanctuaire Musashi-Mitake, niché au sommet.
Autour du sanctuaire, de petites maisons (des shukubō) témoignent d’une tradition d’hospitalité pour pèlerins et randonneurs. Aujourd’hui, si certains sont transformés en logements pour touristes, l’ambiance « village de montagne » reste intacte : ruelles de bois, sobriété et simplicité.
Comment se rendre au mont Mitake depuis Tokyo ? (notre trajet complet)
Rejoindre le mont Mitake se fait très facilement en transports depuis Tokyo. Nous sommes partis d’Ikebukuro, là où nous habitons, très tôt le matin. Motivation à son maximum ! (je dois avouer que mon copain ne m’a pas laissé le choix sur l’heure du réveil…snif).
Un premier changement à Shinjuku nous a permis d’emprunter la JR Chūō Line jusqu’à Ōme. Là, une courte correspondance nous a menés à Mitake Station, au pied de la montagne.
Petit conseil : essayez d’avoir une place assise, le trajet est un peu long.
Arrivée à Mitake Station
Une fois sur place, nous avons fait un rapide tour des petites boutiques autour de la gare. Pour se restaurer, l’offre est limitée ici :
- une petite boutique tenue par un grand-père juste en face
- un stand d’açaï bowls sur le côté
Pas d’inquiétude : le sommet propose plusieurs restaurants très corrects en prix, donc vous pourrez largement déjeuner là-haut. Bien sûr, on a profité de ce premier arrêt pour tamponner nos carnets (une activité devenue presque obligatoire dans chacune de nos escapades).

Mitake Station | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
Bus jusqu’au funiculaire (Takimoto Station)
En sortant de la gare, la station de bus se situe à gauche, à quelques pas seulement. Nous avons fait la queue puis embarqué dans un bus local qui relie directement la gare au départ du funiculaire, à Takimoto Station.
Après environ 5 minutes de marche depuis l’arrêt, on arrive au guichet du funiculaire.
Funiculaire jusqu’à Mitakesan Station
La dernière partie de la montée se fait en cable car, jusqu’à Mitakesan Station. La vue pendant la montée est superbe ! Si vous le pouvez, placez-vous du côté panoramique pour profiter du paysage dès le début de l’excursion.
En moins de trois heures depuis Tokyo, nous sommes passés de la frénésie urbaine aux forêts d’Okutama. Le changement d’atmosphère est total et immédiat.

Funiculaire Mont Mitake | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
Transport : Budget et paiement
Budget total : ~ 1 890 ¥ / personne
- Trains : Suica / Pasmo, au format physique ou dématérialisé
- Bus : Suica directement dans le bus
- bip à l’entrée + bip à la sortie (paiement calculé à la sortie)
- paiement en espèces aussi possible
- Funiculaire : achat de billets sur place
- bornes automatiques + paiement par carte ou Suica
Arrivée au sommet : une plateforme avec vue et un déjeuner bien mérité
La dernière montée en cable car est déjà une expérience en soi. En six minutes environ, le Mitake Tozan Railway relie Takimoto Station (407 m d’altitude) à Mitakesan Station, perchée à 831 m. La ligne franchit un dénivelé de plus de 400 mètres sur une pente pouvant atteindre 25° ! Cela explique la sensation de grimper « d’un coup » au-dessus de la vallée.
En sortant du funiculaire, nous sommes arrivés sur une grande esplanade qui sert de point de départ à la plupart des randonnées. Cette place fait aussi office de belvédère. Par temps clair, on profite d’une vue dégagée sur les montagnes d’Okutama. Le site est même réputé comme spot de nuit pour observer au loin les gratte-ciel de Tokyo et la Tokyo Skytree illuminée.

Mont Mitake | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
Autour de Mitakesan Station, on trouve plusieurs petites boutiques et échoppes où acheter des souvenirs ou des encas avant de partir sur les sentiers. C’est aussi là que commencent les ruelles du village de montagne, avec quelques hébergements traditionnels et restaurants.
Comme il était déjà midi lorsque nous sommes arrivés, nous avons décidé de déjeuner directement au sommet avant de nous lancer sur les chemins. Nous avons choisi un petit restaurant près de la plateforme. Curry pour moi et udon curry pour mon copain.
Les plats étaient simples mais copieux, parfaits pour se réchauffer et prendre des forces avant la randonnée. Les prix restent plus que raisonnables pour une zone touristique en altitude, ce qui rend l’option déjeuner sur place tout à fait confortable.
Vers le sanctuaire Musashi-Mitake : couleurs d’automne, village et arbre sacré
Depuis l’esplanade du funiculaire, nous avons suivi le chemin qui mène au sanctuaire Musashi-Mitake. L’accès est vraiment confortable et adapté à tous. La route est bien entretenue, légèrement en montée mais sans difficulté particulière. Dès les premiers mètres, on est entouré de superbes couleurs d’automne.
Ancient Zelkova Tree
Peu après le départ, nous avons passé l’office du tourisme (une halte pratique si besoin, notamment pour les toilettes). Puis nous sommes arrêtés devant un arbre remarquable : un Mitake-no-Jindai-Zelkova, un zelkova sacré, immense et chargé d’histoire. Voici d’abord la traduction en français de la plaque explicative que j’ai lue, puis ce que les sources confirment de façon documentée.
« Le zelkova (Zelkova serrata) sur l’approche du sanctuaire Musashi-Mitake est estimé âgé d’environ mille ans. Il mesure environ 30 mètres de haut, avec un tronc d’un diamètre tel que sa circonférence dépasse 8 mètres. On dit qu’il s’agit de l’un des plus grands zelkova du Japon. Autour du tronc, une shimenawa (corde rituelle) ornée de shide (banderoles de papier) marque l’arbre comme sacré. C’est un signe que des kami shintoïstes y demeurent.
Selon les légendes locales, l’arbre aurait été planté au cours du Ier siècle de notre ère par le héros légendaire Yamato Takeru. Les arbres qui ont survécu à des siècles de guerres et de catastrophes naturelles sont vus comme des symboles de résilience, des ponts vivants vers le passé. Le bois de zelkova, prisé pour sa solidité et son grain élégant, est traditionnellement utilisé dans l’architecture des temples ou la fabrication de mobilier. »

Zelkova | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
Traversée du village et arrivée au torii du sanctuaire
Puis est apparu le torii du sanctuaire, en bas d’un large escalier qui mène vers le bâtiment principal. Avant d’accéder au cœur du site, tous les visiteurs s’arrêtent à la fontaine de purification appelée chōzuya (ou temizuya). C’est ici que l’on réalise le rituel du temizu. Il consiste à se purifier les mains et la bouche à l’aide d’une louche en bois, afin d’entrer dans le sanctuaire en étant symboliquement purifié.
Une fois ce passage effectué, nous avons commencé l’ascension des marches successives qui serpentent entre les arbres. Après plusieurs volées d’escaliers, les deux bâtiments principaux du sanctuaire Musashi-Mitake se sont dévoilés devant nous, imposants et magnifiquement mis en valeur par les couleurs de l’automne.
Visite du sanctuaire Musashi-Mitake : histoire, rituels et atmosphère
Un peu d’histoire avant de commencer la visite
Le sanctuaire Musashi-Mitake est considéré comme l’un des plus anciens lieux de culte de la région de Kantō. Selon la tradition, sa fondation remonterait à l’époque de l’empereur Sujin, soit il y a environ 2 100 ans. Cette ancienneté explique en partie pourquoi le mont Mitake est perçu, depuis des siècles, comme une montagne sacrée.
Toutes les informations ci-dessous proviennent d’une brochure que j’ai trouvée à l’Office du tourisme 🙂
Entre mythes fondateurs et premiers textes historiques
Une légende importante associée au sanctuaire raconte que, sous le règne de l’empereur Keikō, le héros mythique Yamato Takeru no Mikoto aurait affronté un démon prenant la forme d’un cerf dans les montagnes de Mitake. Après l’avoir vaincu, il se serait retrouvé piégé par un épais brouillard surnaturel émis par la créature. C’est alors qu’un loup blanc serait apparu pour le guider en sécurité hors de la montagne.
De cette histoire vient la tradition qui fait du loup (Ōinu-sama) le gardien divin du mont Mitake. Cette figure est encore très présente aujourd’hui, qu’il s’agisse des statues du sanctuaire ou des visiteurs qui viennent faire bénir leurs chiens.

Oinu Sama, Mont Mitake | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
Sur le plan historique, le sanctuaire est mentionné dans les anciens registres shinto appelés Engishiki Jinmyōchō, compilés en 927. L’établissement y apparaît sous une ancienne appellation, signe qu’il faisait déjà partie des sanctuaires reconnus officiellement par l’État à l’époque de Heian. Sa présence dans ces documents témoigne de son importance religieuse dès le premier millénaire.
Du centre du shugendō aux faveurs des samouraïs
À partir du Moyen Âge, le mont Mitake devient un lieu central du shugendō, une forme d’ascèse de montagne pratiquée par les yamabushi. Grâce à sa position élevée et à son atmosphère mystérieuse, le site attire des pèlerins cherchant protection, longévité et prospérité pour leurs descendants.
Cette popularité s’étend également aux guerriers. Des chefs militaires de l’époque de Kamakura viennent y chercher la faveur des divinités avant une bataille ou y remercier les esprits protecteurs après une victoire. Les dons alors offerts (armures, armes, objets liturgiques) témoignent de ce lien ancien entre le sanctuaire et le monde des samouraïs.
L’époque d’Edo : reconstruction et reconnaissance officielle
Lorsque Tokugawa Ieyasu prend le contrôle du Kantō en 1590, le sanctuaire bénéficie d’une nouvelle reconnaissance. Le shogunat lui délivre un shuin-jō, un document officiel scellé de rouge, confirmant ses terres et ses droits. Au début du XVIIᵉ siècle, le magistrat Ōkubo Nagayasu supervise la reconstruction des bâtiments principaux et modifie l’orientation du pavillon central, qui passe d’une orientation sud à une orientation est.
Cette période marque un véritable essor. Les visites aux sanctuaires se démocratisent et le mont Mitake s’impose comme l’une des “trois grandes montagnes” sacrées de la région, attirant fidèles et pèlerins venus de tout le Kantō.
De la restauration de Meiji à l’époque moderne
Avec les réformes religieuses de l’ère Meiji, le sanctuaire prend officiellement le nom de Mitake Shrine, avant de devenir Musashi-Mitake Shrine en 1952. Le pavillon principal actuel date de 1700, à l’époque d’Edo, ce qui en fait non seulement un lieu de culte vivant, mais aussi un bâtiment historique préservé depuis plus de trois siècles.

Musashi-Mitake | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
Notre expérience : entre spiritualité, chiens protecteurs et silence
Des visiteurs accompagnés de leurs chiens
Après avoir gravi les dernières marches menant aux pavillons principaux, nous avons tout de suite remarqué un détail touchant. Il y avait beaucoup de propriétaires venus avec leur chien.
Ce n’est pas un hasard. Comme dit plus haut, le sanctuaire étant lié à la légende du loup protecteur (Ōinu-sama), les chiens sont ici considérés comme des êtres particulièrement proches des divinités. Beaucoup de visiteurs viennent donc faire bénir leur compagnon à quatre pattes. Mais aussi acheter des omamori, des amulettes porte-bonheur, spécialement dédiées à la protection des animaux.
J’ai moi-même craqué pour l’une de ces amulettes afin de l’offrir au chien de mes parents. C’est un petit souvenir symbolique !
Découverte silencieuse des bâtiments
Après cette parenthèse, nous avons pris le temps de découvrir les bâtiments du sanctuaire. Les pavillons en bois, la toiture élégante, les sculptures et la structure traditionnelle composent un ensemble harmonieux. Ils sont particulièrement mis en valeur par la lumière de l’après-midi. Le soleil faisait ressortir les rouges, les ors et les nuances d’automne autour du sanctuaire, donnant à l’endroit une atmosphère presque irréelle.
Ce que nous avons préféré, c’est ce calme absolu. Au milieu de la montagne, bercés par le vent et par quelques chants d’oiseaux, nous avons simplement respiré, regardé autour de nous, laissé nos esprits se poser. Quelque chose que l’on ne fait presque jamais à Tokyo.
La randonnée vers le Rock Garden et Nanayo Falls
Au cœur de la forêt
Plonger dans la forêt profonde de Mitake
Après notre visite du sanctuaire, nous avons poursuivi notre journée en suivant les panneaux en direction du Rock Garden, l’un des parcours les plus réputés du mont Mitake. Le sentier démarre juste après avoir redescendu les marches du sanctuaire, puis s’enfonce progressivement dans la forêt.
La première partie, en descente, est plutôt simple. Il faut tout de même rester attentif aux nombreuses racines qui traversent le chemin. Pour la remontée, nous avons emprunté un autre itinéraire, légèrement plus technique : une montée raide, presque en pic. Autant dire que j’étais bien contente de mes séances de cardio à la salle… contrairement à Chota, qui a « un peu » laissé ses poumons en chemin.

La forêt dense Mont Mitake | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
Entre beauté de la nature… et ma peur panique de la forêt
En quelques minutes, l’atmosphère change totalement. Les bâtiments du sanctuaire disparaissent derrière nous et nous entrons dans une forêt dense, composée d’arbres immenses qui filtrent la lumière. Les bruits de la montagne prennent le dessus et l’on sent que la randonnée commence pour de bon.
Je dois l’avouer : la forêt, pour moi, c’est un environnement qui me fait facilement peur. Beaucoup de mes cauchemars se déroulent en pleine forêt, donc ce n’est pas vraiment là où je me sens le plus sereine… Et pour ne rien arranger, nous étions en pleine saison des ours. J’avais acheté une clochette lors de mon week-end à Toyama (quasiment tous les Japonais en ont une) censée signaler notre présence. Malgré son tintement, je n’étais pas totalement tranquille. Heureusement, nous avons croisé deux couples sur le chemin, ce qui a suffi à faire retomber la tension.
Nanayo Falls : une pause rafraîchissante au cœur de la nature
Après avoir longé le sentier forestier en direction du Rock Garden, nous avons atteint un point d’intersection marqué par un grand rocher. C’est à cet endroit que plusieurs chemins se croisent, dont celui qui mène à Nanayo Falls, une petite cascade nichée au cœur de la forêt d’Okutama, sur le versant inférieur du Rock Garden.
La falaise d’où se déverse l’eau n’est pas imposante, mais elle est entourée d’une nature très sauvage. Elle fait partie d’une série de huit petits paliers, répartis sur environ 50 m de dénivelé, dont on peut observer principalement les niveaux inférieurs.
Nous avons fait une pause goûter tout en prenant quelques photos. Le lieu est parfait pour cela. Les rochers offrent des assises naturelles, l’air est frais et l’endroit donne une impression de petit refuge secret dans la forêt.
Attention en cas de pluie ou d’humidité
Le chemin vers la cascade et les rochers autour peuvent devenir très glissants à cause du terrain humide, des racines et des roches. Des panneaux le signalent parfois le long du sentier et il est important d’avancer avec prudence, surtout après des averses. Il y a d’ailleurs eu des cas d’accidents par le passé sur des chemins glissants, donc mieux vaut rester vigilant.
Chemin du retour et dernier point de vue

Le belvédère, Mont Mitake | Japon, 2025. © 2 0 2 5 G o l d e n t u r t l e s
En amorçant la remontée vers la plateforme du sommet, nous sommes tombés sur une scène totalement inattendue : un petit bar improvisé au beau milieu de la forêt. Quelques randonneurs japonais étaient assis, un verre de vin rouge à la main, discutant comme s’ils se trouvaient dans un izakaya… Cette atmosphère conviviale fait partie de ces moments qui donnent tout leur charme aux randonnées au Japon.
Nous avons rejoint un belvédère juste avant la station du funiculaire. La vue qui s’ouvrait devant nous était splendide : Tokyo baignée par la lumière dorée de la fin d’après-midi, soulignée par les couleurs flamboyantes de l’automne. C’était la conclusion parfaite d’une randonnée aussi belle que ressourçante.
Infos pratiques pour préparer votre journée au mont Mitake
Durée de la randonnée
- 2h30 à 3h30 selon le rythme et votre départ (funiculaire ou non)
- Comptez plus si vous prenez le temps de vous arrêter aux cascades ou au sanctuaire
Niveau et difficulté
- Facile à modéré
- Descente simple mais présence de nombreuses racines
- Remontée possible par un chemin plus raide (selon l’itinéraire choisi)
- Les chemins peuvent devenir glissants par temps humide
Accès depuis Tokyo
- Moins de 3 heures depuis Ikebukuro, Shinjuku ou n’importe quelle grande gare de Tokyo
- Parcours : Ikebukuro → Shinjuku → Ōme → Mitake Station → bus → funiculaire
Budget approximatif et paiement
- 1 890 ¥ par personne pour l’ensemble des transports
- Restaurants au sommet : 1 000 à 1 300 ¥ par plat en moyenne
- Suica/Pasmo : trains + bus + funiculaire
- Possible aussi en espèces ou par carte au funiculaire
Équipement recommandé
- Baskets ou chaussures de randonnée
- Veste légère (ou épaisse) selon la saison
- Eau (important !) + petit encas
- Et… une clochette si vous êtes anxieux comme moi !
Sites officiels pour préparer votre visite
- Funiculaire Mitake Tozan Railway : Infos horaires, tarifs, situation en temps réel
- Sanctuaire Musashi-Mitake Shrine : Histoire du sanctuaire, plan, événements
- Office du tourisme de Ōme (Mont Mitake) : Informations sur les randonnées, cascades, accès et recommandations
- Parc national Chichibu-Tama-Kai (incluant le mont Mitake) : Présentation du parc, réglementation, sécurité
Conclusion : une parenthèse nature à vivre depuis Tokyo
Le mont Mitake est l’un de ces lieux qui rappellent à quel point la nature n’est pas si loin, même lorsqu’on vit dans une métropole comme Tokyo. En une journée seulement, on passe des rames de la Chūō Line aux sentiers entourés de mousse.
Pour nous, cette escapade fut une véritable bouffée d’air frais. Si vous cherchez une randonnée accessible ou un lieu chargé d’histoire, le mont Mitake mérite clairement une place dans votre liste d’excursions !
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