qui suis-je ?
Hello, moi c'est Manon
Dans cette section, vous en apprendrez un peu plus sur mon parcours personnel et professionnel. Bonne découverte !
Naissance d’une âme aventureuse
L’enfance. Ah, qu’est-ce que j’en garde de bons souvenirs. Grimper aux arbres derrière la maison en souhaitant toucher le ciel, se goinfrer de grenades acides trouvées à même le sol, nourrir en cachette les chevaux du voisin des grands-parents ou encore marcher de nombreuses heures en haute montagne et contempler les étoiles. J’ai eu la chance que cette curiosité enfantine ait longtemps été encouragée par mes parents et cultivée par de nombreuses activités extrascolaires ou expériences dans la nature.
Ça a forgé en grande partie, je pense, l’âme aventureuse que j’ai aujourd’hui.
L’enfance a laissé place ensuite à l’adolescence, les années se sont enchaînées et la future voyageuse intrépide que je suis aujourd’hui, prenait de l’assurance. Ce fut le début des premières vacances en Europe. Entre Salou, Paris, Londres, Amsterdam, l’excitation autour d’une nouvelle expédition était et reste toujours aussi puissante. Je pense que ces moments furent l’un des éléments de confirmation de mon appétence pour le voyage.
L'Inde, ou le choc culturel à 16 ans
En parlant de puissance et d’expédition, j’avais tout juste 16 ans lorsque je suis partie en colonie de vacances pendant trois semaines en Inde. Pourquoi ce pays ? Je devais partir au Brésil mais le quota de participants avait été rapidement atteint avant que je ne puisse m’inscrire. Alors, sur un coup de folie, j’ai jeté mon dévolu sur ce pays.
Il est à noter que c’était la première fois que je sortais hors de l’Europe et que je voyageais sans la famille : oui, oui, un coup de folie, je vous avais prévenus.
À cette époque, j’étais encore jeune en termes d’ouverture culturelle. Et l’arrivée dans ce pays a été une véritable confrontation entre mes codes sociaux, mes a priori et la réalité dans laquelle vivent les gens.
C’était une véritable variation entre l’exaltation de la nouveauté au traumatisme de déracinement. L’environnement social et culturel était nouveau et a déclenché en moi une forme d’anxiété, c’est ce qu’on appelle la phase de “crise” dans la notion de “choc culturel” d’Oberg (1960) – la géographe en moi ressort, désolée ☺.
Cette phase est relativement vite passée et je garde de bons souvenirs. Mais je trouvais intéressant de relever ce premier dépaysement car j’en ai appris beaucoup sur moi-même.
Géographe au cœur de littéraire
Sans m’étaler trop longtemps sur les études, je souhaite toutefois noter l’importance qu’elles ont eue dans ma construction personnelle et professionnelle.
J’ai intégré pendant deux années le système de classe préparatoire en littérature. À cette période, les mots n’ont jamais autant résonné en moi. J’aimais écrire, et par-dessus tout, j’adorais lire. Et cette découverte approfondie de l’univers littéraire et artistique m’a certainement mené aujourd’hui à créer cet article, et par extension ce blog.
J’ai continué mon parcours scolaire avec trois ans de faculté de géographie, ce qui m’a permis de vivre en première année de Master, l’expérience de chercheur de terrain. En effet en 2019, je suis partie durant deux mois à Phnom Penh au Cambodge effectuer mon mémoire sur les enfants marginalisés et le travail de rue.
Et en termes de développement personnel, ce fut la claque la plus magistrale de ma vie (comme en manifeste mon post Instagram).
Le Service Civique à Montréal
En me renseignant un peu sur les expériences possibles à l’étranger, je suis tombée sur les missions de Service Civique. C’était une alternative parfaite pour mettre un premier pied dans le monde du travail tout en ayant le second un peu à l’extérieur. C’est ainsi que j’ai vécu pendant un an à Montréal, au Canada.
La flexibilité de mon Service Civique – soit 4 jours de travail par semaine – m’a permis de prendre le temps pour découvrir le Québec, et quelques régions canadiennes dans les alentours. Je suis également allée pour la première fois aux États-Unis. Entre la Nouvelle Orléans, Boston ou encore New York, l’année 2021-2022 a été la plus riche en termes de voyage : j’en ai pris plein les mirettes.
Mais pas que. J’ai également rencontré du beau monde sur ma route, sans qui une grande partie de ces souvenirs n’aurait pas été possible. Et en cela, je sais avec certitude que le chapitre “Montréal” est loin d’être clos.
PVTiste australienne
Le voyage fait partie intégrante de qui je suis. C’est dur à expliquer mais l’enfermement, la stabilité ou encore la routine m’angoissent. Il me fallait donc un nouveau défi pour l’année 2023.
Mes rencontres à Montréal m’ont poussée à me pencher sur la question du PVT (Permis Vacances-Travail). Et en regardant les destinations proposées, l’Australie me semblait le meilleur compromis. Après plus de six mois dans le froid québécois, la chaleur, le soleil et la mer m’ont fait de l’œil, j’avoue.
J’ai eu le privilège de passer dix mois sur le sol australien. Entre la trépidante Brisbane, l’ambiance décontractée de Byron Bay et un road trip le long de la côte-est jusqu’en Tasmanie, je vous invite à découvrir mes nouvelles aventures !
Future PVTiste au Japon
Eh bien, comme vous pouvez l’imaginer, mon parcours ne s’arrête pas ici. Nous sommes en octobre 2024, et j’ai reçu hier mon visa PVT pour m’envoler… vers le Japon ! Suivez mes aventures japonaises à partir de février 2025 sur mon site !